"Je m'appelle Bond. James Bond."

Prenez un peu de ma technique pop art, utilisez du noir et blanc, ajoutez-y mon "triangulisme", ou revisite du cubisme, déjà exploré dans des oeuvres comme "La fin du monde" ou bien "Flou artistique", et vous obtenez ce James Bond. Ce tableau possède une grande profondeur et assombrit volontairement le personnage.

Le personnage de James Bond est fascinant. Il s'agit d'un personnage certes fictif, critiqué pour son comportement, mais assez proche d'un illustre espion et agent double, voire triple, ayant servi pendant la seconde guerre mondiale. Ian Fleming, l'auteur de James Bond, était également officier du renseignement britannique et a pu croiser ce fameux agent d'origine serbe dénommé Popov à Lisbonne, ville neutre qui grouillait d'espions de tous les pays. Popov a servi de modèle au personnage de James Bond. Etant féru d'histoire et d'espionnage, je suis forcément un fan. La scène de Casino Royale où James Bond fait tapis est issue du fait réel où Popov a joué d'un coup les 38 000 livres de frais de service qu'on lui avait remis pour effectuer son travail à l'hôtel Palacio à Lisbonne, alors que la période était difficile financièrement, et les services secrets plutôt pingres. Et son coup de bluff a fonctionné, il a plumé ce jour-là un riche industriel lituanien. Popov était également un homme de prestance, beau-parleur et grand amateur de femmes et de vodka. Pas très différent au final de James Bond. Ces agents, comme l'agent nom de code Garbo, tout fantasques qu'ils étaient, ont été déterminants dans la victoire des Alliés en enfumant littéralement les services d'espionnage nazis avec brio.

Différence entre le réél et la fiction. Popov n'était pas armé. Après la guerre, le personnage de James Bond ayant été inventé en 1952, Popov a tout de même avoué que James Bond n'aurait pas tenu 2 jours vivant.

Prenez un peu de ma technique pop art, utilisez du noir et blanc, ajoutez-y mon "triangulisme", ou revisite du cubisme, déjà exploré dans des oeuvres comme "La fin du monde" ou bien "Flou artistique", et vous obtenez ce James Bond. Ce tableau possède une grande profondeur et assombrit volontairement le personnage.

Le personnage de James Bond est fascinant. Il s'agit d'un personnage certes fictif, critiqué pour son comportement, mais assez proche d'un illustre espion et agent double, voire triple, ayant servi pendant la seconde guerre mondiale. Ian Fleming, l'auteur de James Bond, était également officier du renseignement britannique et a pu croiser ce fameux agent d'origine serbe dénommé Popov à Lisbonne, ville neutre qui grouillait d'espions de tous les pays. Popov a servi de modèle au personnage de James Bond. Etant féru d'histoire et d'espionnage, je suis forcément un fan. La scène de Casino Royale où James Bond fait tapis est issue du fait réel où Popov a joué d'un coup les 38 000 livres de frais de service qu'on lui avait remis pour effectuer son travail à l'hôtel Palacio à Lisbonne, alors que la période était difficile financièrement, et les services secrets plutôt pingres. Et son coup de bluff a fonctionné, il a plumé ce jour-là un riche industriel lituanien. Popov était également un homme de prestance, beau-parleur et grand amateur de femmes et de vodka. Pas très différent au final de James Bond. Ces agents, comme l'agent nom de code Garbo, tout fantasques qu'ils étaient, ont été déterminants dans la victoire des Alliés en enfumant littéralement les services d'espionnage nazis avec brio.

Différence entre le réél et la fiction. Popov n'était pas armé. Après la guerre, le personnage de James Bond ayant été inventé en 1952, Popov a tout de même avoué que James Bond n'aurait pas tenu 2 jours vivant.

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Dimensions 25P ou 81x60cm
800€
TTC
REF: 2001
Etat de stock: En stock
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